Maintenant que Paris, ses pavés et ses marbres Et sa brume et ses toits sont bien loin de mes yeux Maintenant que je suis à l'ombre des arbres Et que je puis songer à la beauté ces ceux Maintenant que du drame qui m'a fait l'âme obcure Je sors pâle et vainqueur et que je sens la paix de la grande nature Qui m'entre dans le coeur
Maintenant que Paris, ses pavés et ses marbres Et sa brume et ses toits sont bien loin de mes yeux Maintenant que je suis à l'ombre des arbres Et que je puis songer à la beauté ces ceux Maintenant que du drame qui m'a fait l'âme obcure Je sors pâle et vainqueur et que je sens la paix de la grande nature Qui m'entre dans le coeur
Maintenant que Paris, ses pavés et ses marbres Et sa brume et ses toits sont bien loin de mes yeux Maintenant que je suis à l'ombre des arbres Et que je puis songer à la beauté ces ceux Maintenant que du drame qui m'a fait l'âme obcure Je sors pâle et vainqueur et que je sens la paix de la grande nature Qui m'entre dans le coeur
Maintenant que Paris, ses pavés et ses marbres Et sa brume et ses toits sont bien loin de mes yeux Maintenant que je suis à l'ombre des arbres Et que je puis songer à la beauté ces ceux Maintenant que du drame qui m'a fait l'âme obcure Je sors pâle et vainqueur et que je sens la paix de la grande nature Qui m'entre dans le coeur
Maintenant que Paris, ses pavés et ses marbres Et sa brume et ses toits sont bien loin de mes yeux Maintenant que je suis à l'ombre des arbres Et que je puis songer à la beauté ces ceux Maintenant que du drame qui m'a fait l'âme obcure Je sors pâle et vainqueur et que je sens la paix de la grande nature Qui m'entre dans le coeur
Maintenant que Paris, ses pavés et ses marbres Et sa brume et ses toits sont bien loin de mes yeux Maintenant que je suis à l'ombre des arbres Et que je puis songer à la beauté ces ceux Maintenant que du drame qui m'a fait l'âme obcure Je sors pâle et vainqueur et que je sens la paix de la grande nature Qui m'entre dans le coeur
Maintenant que Paris, ses pavés et ses marbres Et sa brume et ses toits sont bien loin de mes yeux Maintenant que je suis à l'ombre des arbres Et que je puis songer à la beauté ces ceux Maintenant que du drame qui m'a fait l'âme obcure Je sors pâle et vainqueur et que je sens la paix de la grande nature Qui m'entre dans le coeur
Maintenant que Paris, ses pavés et ses marbres Et sa brume et ses toits sont bien loin de mes yeux Maintenant que je suis à l'ombre des arbres Et que je puis songer à la beauté ces ceux Maintenant que du drame qui m'a fait l'âme obcure Je sors pâle et vainqueur et que je sens la paix de la grande nature Qui m'entre dans le coeur
Maintenant que Paris, ses pavés et ses marbres Et sa brume et ses toits sont bien loin de mes yeux Maintenant que je suis à l'ombre des arbres Et que je puis songer à la beauté ces ceux Maintenant que du drame qui m'a fait l'âme obcure Je sors pâle et vainqueur et que je sens la paix de la grande nature Qui m'entre dans le coeur
Maintenant que Paris, ses pavés et ses marbres Et sa brume et ses toits sont bien loin de mes yeux Maintenant que je suis à l'ombre des arbres Et que je puis songer à la beauté ces ceux Maintenant que du drame qui m'a fait l'âme obcure Je sors pâle et vainqueur et que je sens la paix de la grande nature Qui m'entre dans le coeur